
Dans son ouvrage critique L’art moderne, Joris-Karl Huysmans écrit à propos des panneaux des Quatre Saisons, exposés au Salon de 1882 :
« […] Encore un peintre qui n'était pas le premier venu et qui s'effondre ! Nous allons pouvoir en dire autant de Mlle Abbéma qui tirait jadis de ses boîtes à couleurs de gais pétards. Les quatre saisons, représentées par quatre actrices, sont, comme concept, une niaiserie bien féminine, mais ce qui est pis encore, c'est l’exécution lâchée, l’impersonnalité de...
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